Memoires fantomes T.01
En rupture d'inventaire
13,95$
DESCRIPTION
Une histoire paranormale et romantique entre une jeune femme possédée depuis l’enfance, un ange dans le corps d’un yakuza et son bras droit.
Suzuki est un sous-fifre yakuza obéissant aux ordres de son chef Gôda. Un soir, ils croisent Nagi, une jeune fille qui semble avoir tout oublié de son enfance. Un ange du nom d’Arashi, descendu sur Terre pour aider Nagi, prend alors possession du corps de Gôda, qui se lance dans une enquête sur le passé mystérieux de cette jeune fille.
Pourquoi on l’aime ?
- Le pivot habile entre le côté paranormal et le côté romantique
- Le plot twist de fin de tome 1 donne vraiment envie de lire la suite et remet en question le coté surnaturel du manga.
- Série courte en 3 tomes
Tome
1
Book Status
ISBN:
9782385313180
Informations supplémentaires
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Expertise reconnue
Plus de 10 ans d’expérience dans les mangas.
harvey.valerie2 –
Après avoir terminé la série complète: 4,5/5 Quel bonheur de retrouver cette mangaka qui sait raconter des histoires punchées, avec un rythme soutenu et des surprises qui s’enchaînent! J’avais adoré Professeur Eiji, qui se penche sur les failles de la société avec ceux qu’on abandonne. Même si Mémoires fantômes, avec trois tomes pour la série complète, reste plus en surface sur ces thèmes, on détecte quelques critiques bien envoyées à travers cette histoire haletante mélangeant pouvoirs psychiques, manipulations, anges et démons.
Il faut avoir en main le tome suivant pour ne pas rester sur sa faim: les tomes 1 et 2 se terminent en laissant le lecteur en suspens, on veut plonger vers la suite sans délai. On clôt (trop?) rapidement au début du tome 3, puis on prend le temps d’expliquer et de faire évoluer les personnages.
Une belle série, avec des personnages dessinés de façon très sensuelle, on sent l’habilité de Akiko Monden, et l’évolution de son style depuis Professeur Eiji. Elle a une façon bien à elle de tracer les personnages, surtout les bouches où elle dessine de vraies lèvres autant pour les femmes que pour les hommes (alors que dans plusieurs mangas, ça peut être simplement un trait). Ça me plait beaucoup!
J’aimerais lire Ryuu no Kesshou, sa série sur le karaté publié en 1996. Espérons!