Mon bourreau de pere est enfin mort
Piroyo Arai
En rupture d'inventaire
14,95$
Comment doit-on réagir lorsqu’on n’a connu qu’une maison où la communication d’un père se fait par la violence ?
La mangaka Arai Piroyo revient avec un récit autobiographique sur sa relation avec son père violent.
Violentée depuis sa plus tendre enfance, l’auteur nous livre sous un trait simple une histoire nuancée de complexité.
Comment grandit un enfant lorsque la violence est le maître mot à la maison ? Quel traumatisme cela peut causer ? Et comment fait-on pour guérir de ce trauma ?
Alors qu’elle n’aspirait qu’à une vie normale avec des parents normaux, l’auteur nous raconte son histoire de vie.
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harvey.valerie2 –
C’est un récit très troublant, qui raconte de façon frontale les douleurs qu’un enfant victime de violence dans sa famille peut subir. Et surtout la façon qu’il prend pour tenter de se protéger de ces agressions, qui diffère selon les enfants de la même famille, les sentiments que cela engendre, et les conséquences que cela laisse sur le parcours d’adulte. À quel point il n’est pas facile de se sortir de ce passé, d’avoir voulu aimer son parent, mais pas celui-là car il était affreux… Voilà un récit autobiographique qui frappe fort et rappelle Survivre à ses parents toxiques – Vous n’êtes pas obligés de les pardonner de Mariko Arai, avec un parcours plus long car l’autrice raconte son parcours de l’enfance jusqu’à environ 30 ans. Je recommande de lire aussi Transparente de Jun Ogino si le sujet vous intéresse, car on se penche alors sur la culpabilité et le poids que laisse l’action contre de tels parents.