Mangas célébrant les différences !

Jeune lycéenne populaire, Aya s’entiche d’un mystérieux disquaire avec qui elle partage une passion pour le rock. A force de rencontres et de discussions, ils se rapprochent. Mais le mystérieux disquaire si charismatique est en réalité Mitsuki, une jeune fille très discrète qui étudie dans le même lycée qu’Aya.

Pourquoi on l’aime ?

• Les questionnements psychologiques, de quête d’identité, de connaissance de soi, éthiques ou d’affirmation sociale au coeur de la romance
• Un style graphique avec une forte personnalité qui nous embarque loin dans l’univers
• Une romance toute en douceur avec une pointe de piquant !

Ni gars, ni fille, Mogumo peine à se faire des amis. Tetsuo, son camarade de classe, a pourtant la solution : l’intégrer au sein du maid café otokonoko tenu par son frère, un café où de jeunes garçons se transforment en maids.
Chacun d’entre eux rencontre des complications à être accepté tel qu’il est. Chacun est différent mais a pourtant plein de points en commun.
Entre identités de genre et introspection personnelle, suivez les tribulations amoureuses et identitaires de ces laissés-pour-compte en marge d’une société normative.

Dans un monde où les enfants choisissent leur genre au moment de la puberté, Hinase, 18 ans, peine à faire un choix entre devenir une femme ou un homme.

C’est sans compter sur Shiori et Ritsu, ses amis d’enfance, qui ne lui facilitent pas la tâche en lui annonçant leurs sentiments. Débute alors un triangle amoureux.

Rumi est une lycéenne studieuse et sérieuse. Mais Séki, son voisin de classe, bricole, s’amuse et s’agite dans tous les sens, sans jamais se faire prendre par les professeurs et l’empêche de se concentrer. De plus, toutes ses bêtises retombent toujours sur la jeune fille.

Tsugumi, 26 ans, tombe un jour sur son premier chum de jeunesse, Hayukawa, qu’elle n’a plus revu depuis longtemps. Entre temps, le jeune homme a été victime d’un accident de voiture et a perdu l’usage de ses jambes : il se déplace donc en fauteuil roulant. Peu à peu, l’attirance revient et, malgré les difficultés que Tsugumi envisage dans cette relation, tous les deux vont décider de commencer ensemble une nouvelle histoire.  

 Au-delà la comédie romantique, qui, en soit, est déjà vraiment réussie et addictive, le côté social de Perfect World nous présente la vision d’un couple atypique et de la façon dont ils sont perçus dans la société, leurs angoisses, leurs difficultés au quotidien… C’est passionnant et c’est une thématique peu exploitée en manga. Ca fait du bien !  

Jeune mangaka amateur de nature introvertie, Seijin Gesui partage son temps entre la création de ses oeuvres et son travail de livreur de journaux. Ses journées s’écoulent paisiblement jusqu’à ce que Megumi Saitô, l’une de ses fans, lui rende visite. Subjuguée par l’un des mangas, elle tenait absolument à le rencontrer. Seijin découvre que vivre est pour elle un combat au quotidien.

Pourquoi on l’aime ?

• Les différentes thématiques présentes : la solitude, la maltraitance, le bullying, l’autisme, le tout raconté avec douceur.
• Diamétralement différents mais ayant vécu les mêmes traumas, la relation entre les deux héros est complexe et donne envie de lire la suite.

Très attendu sur la scène manga, ce shojo sportif pas comme les autres traite du dépassement de soi dans le contexte du handicap. 

Suite à un cancer juvénile, Rin est amputée de la jambe droite. 

Alors qu’elle se bat pour réapprendre à marcher, pour reprendre sa place dans la société, pour faire face à sa différence, la rencontre avec le handi-sport va redonner un sens à sa vie. Elle intègre les Blade Runners, une équipe d’athlètes handicapés qui se préparent pour participer aux Jeux Paralympiques et testent une nouvelle prothèse révolutionnaire. 

Un titre inspirant qui laisse place à l’espoir et à la perséverance, même dans les situations les plus décourageantes. 

Un one-shot dessiné en 2011 par Shuzo Oshimi, une ses premières œuvres donc, à tendance largement autobiographique, sur les troubles psychologiques et leurs conséquences sur la parole. 

Shino est une jeune fille tellement timide et stressée par ses interactions avec les autres qu’elle en oublie comment prononcer son nom et est atteinte de bégaiement. Ce défaut de parole lui amène les quolibets de tous ses camarades de classe et elle se renferme peu à peu dans sa solitude.
Jusqu’à ce qu’elle rencontre Kayo, une jeune guitariste, avec laquelle Shino va se lancer dans un projet artistique : monter un band de musique. 

L’auteur avoue avoir fait un exutoire de cette œuvre. Lui-même en grande difficulté sociale, il a été bègue pendant de nombreuses années jusqu’à trouver une forme d’expression qui lui convenait mieux dans le dessin.
Un récit puissant sur un sujet peu abordé ! 

Tout commence lorsque Shôko Nishimiya intègre en cours d’année la classe de primaire de Shôya Ishida. La jeune Shôko est sourde et Shôya est un jeune garçon turbulent qui n’en fait qu’à sa tête. Ne sachant pas comment s’y prendre avec une caramade différente des autres, Shôya commence à la brutaliser, à la harceler. La classe suivra le mouvement au fur et à mesure, sans que leur professeur principal ne fasse d’effort pour les rappeler à l’ordre. Le jour où le garçon dépasse les limites, il est abandonné par ses camarades et se retrouve tout seul.
Shôko est transférée dans une nouvelle école et Shôya réalise que, malgré tout, elle souhaitait seulement être son amie.
Les années passent : Shôya est désormais au cégep. Rempli de remords, il se repentit sans cesse de ses actes passés. Il a même décidé d’apprendre la langue des signes pour qu’elle puisse comprendre ce qu’il a à lui dire. Il décide alors de retrouver la jeune fille afin d’alléger son cœur sans se douter que ces retrouvailles vont changer son destin.